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FICHE EXAMEN
Chlamydiae trachomatis / Neisseria gonorrhoeae
Révisé le 04/03/2024 14:02:42
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EXAMEN
ExamenChlamydiae trachomatis / Neisseria gonorrhoeae
SynonymesPCR Chlamydia urine PCR gonocoque urine
Facturation
Code acte : 5301
CotationTarification
B 85 - Code acte : 530121,25 €
Total21,25 €
ANALYTIQUE
Méthode d'analyseReverse transcripase + PCR en temps réel (=RT-qPCR)
TechniqueCobas 5800
Jours d'exécutionTous les jours du Lundi au Vendredi sauf jours fériés
Examens réalisés en urgence (24/24h)NON
PRÉ ANALYTIQUE
Contenant de 1ère intention
x1COBAS PCR URINE
Quantité minimum : Services (SANG TOTAL ou sans prétraitement)Remplissage ENTRE les DEUX TRAITS IMPERATIF ++++
Recommandations / PrécautionsKit collection urine spécifique: Cobas(R) PCR Urine Sample Packet
Conditions de conservation et de transportLes échantillons d'urine doivent être immédiatement transférés dans le tube de milieu pour PCR cobas® (stabilisé).

Si les échantillons ne peuvent pas être transférés immédiatement, ils peuvent être conservés entre 2 °C et 30 °C pendant 24 heures au maximum (tube sec urine).

Transporter et stocker le tube de milieu pour PCR cobas® contenant l'échantillon d'urine stabilisée entre 2 °C et 30 °C. Les échantillons d'urine stabilisée sont stables entre 2 °C et 30 °C pendant 12 mois au maximum.
POST ANALYTIQUE
Fréquence / Délai de renduJ+1
INDICATIONS MEDICALES ET SCIENTIFIQUES
Intérêt médical et scientifiqueEn l’absence de traitement, les infections à CT peuvent être à l’origine d’urétrites non gonococciques, d’épididymites, de proctites, de cervicites et de salpingites aiguës. Chez la femme, les infections à CT non traitées peuvent
conduire à une maladie inflammatoire pelvienne (MIP) chez plus de 40 % de la population infectée et à l’infertilité chez 20 % de ces patientes. La MIP peut se manifester sous la forme d’endométrites, de salpingites, de péritonites pelviennes et d’abcès
tubo-ovariens. Les infections gonococciques sont au deuxième rang des maladies sexuellement transmissibles (MST) à bactéries les plus fréquemment signalées. La majorité des infections urétrales masculines à NG provoquent des symptômes aboutissant à un
traitement curatif, mais chez la femme les symptômes peuvent être non reconnaissables jusqu’à la survenue de complications (p. ex. MIP).
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